Lundi 26 mars
2018
De retour à La
Havane
Hola !
Je m'étais mis d'accord avec un chauffeur de taxi rencontré dans la
rue pour qu'il vienne me prendre ce matin à 6h45 pour me conduire à
l'aéroport. Il était devant ma casa à 6h30. Mais j'ai eu affaire à
un drôle de phénomène. A peine parti, il me dit qu'il n'y a pas d'avion, qu'ils ne
fonctionnent pas, que c'est comme cela à Cuba. Je ne sais pas vers
quel plan foireux il veut m'entraîner d'autant que je trouve qu'il
roule assez doucement. Je hausse le ton et je lui dis que je ne veux
pas discuter mais qu'il faut me conduire directement à l'aéroport.
Il finit par s'exécuter et prendre la direction de l'aéroport.
Mon avion était là et je suis donc de retour à La Havane.
Je commence par aimer beaucoup cette ville. J'ai retrouvé ma casa,
enfin, une autre casa tenue par la même famille, elle est très
bien, magnifique .
J'ai cet après midi parcouru le malecon : l'avenue du front de
mer .
le malecon : c'est ce boulevard qui longe la mer |
A l'extrémité du malecon, on est proche du Callejon de Hamel et je
suis allé voir cette ruelle qui est magnifique.
Dans cette petite ruelle vit un peintre : Salvador Gonzalés Escalona et ce peintre s'est mis en 1990 à peindre la maison du voisin …… puis il a fini par peindre toute la rue de façon artistique en s'inspirant de Picasso, Dali, Gaudi, en complétant les peintures par des sculptures, tronçonnant les baignoires en deux pour en faire des bancs dans la ruelle. Il y règne une ambiance particulière. C'est un lieu plein d'artistes où la musique se fait beaucoup entendre.
Dans cette petite ruelle vit un peintre : Salvador Gonzalés Escalona et ce peintre s'est mis en 1990 à peindre la maison du voisin …… puis il a fini par peindre toute la rue de façon artistique en s'inspirant de Picasso, Dali, Gaudi, en complétant les peintures par des sculptures, tronçonnant les baignoires en deux pour en faire des bancs dans la ruelle. Il y règne une ambiance particulière. C'est un lieu plein d'artistes où la musique se fait beaucoup entendre.
rien à dire, il faut juste contempler |
Dans les rues de La Havane, à de nombreux endroits, on peut écouter des groupes de musiciens comme ici :
hasta mañana
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